Le roman de Tony Baiilargeat est fabuleux au sens propre du terme. Sa plume m’avait été révélée avec sa préface du onzième roman de Jean Parvulesco dans laquelle il nous parle de la roseline de l’écrivain roumain partant de son appartement de la rue Suchet dans le 16 ème, en qui il voyait un explorateur de la terre intérieure au somnabulisme digne de celui de l’amiral Bird.
Comme "Le secret de Diana Danesti" commençant par un étrange courrier de Jules Verne est une évocation ou invocation magique plutôt de Anna de Noailles, née princesse Bibesco Bassaraba de Brancovan, belle (...)