En réponse à :
6 septembre 2015
« Le véritable mystique se reconnaît, entre autres vertus, à ce qu’il donne l’exemple, sinon du silence, au moins de la tempérance verbale. Il ne parle qu’à bon escient, c’est-à-dire rarement, et les paroles qu’il prononce sont riches d’un sens profond. Il fait sien ce conseil d’un instructeur soufi : “Si le mot que tu vas prononcer n’est pas plus beau que le silence, alors ne le dis pas !”. »