Pour revenir au début de ce conte...
Murmurant de vagues paroles apaisantes, il cueille le marmot et le juche sur ses épaules. Le mioche a sans doute l’habitude de ce mode de transport, car il se tient bien en équilibre, s’agrippant à l’épaisse chevelure de sa monture improvisée, tandis que Maître Ivo se relève en récupérant ses paniers. Le petit ne pleure plus, croyant sans doute qu’on le ramène à sa mère.
Soufflant un peu, sous la charge accrue, le savant reprend le chemin puis (...)