En réponse à :
28 décembre 2006 08:46, par El peregrino
Il, elle... ! N’est-ce pas la reconnaissance d’une fausse dualité, l’acceptation d’une fusion au fond de notre cœur qui nous fait côtoyer le merveilleux...
« Je m’étonne de l’amoureux dont les beautés miroitent dans fleurs et jardins ! » Et moi à elle : « Ne t’étonne pas de qui tu vois, Ce que tu as vu est toi-même dans le miroir d’un homme ! » Ibn’Arabî