Je suis passée à Cahors cet été, la mémoire pleine de cette énigme. Mais, travaux de réfections obligent, je n’ai pas pu voir ces scènes étranges. Peut-être faudrait-il ajouter que, dans le cloître, deux disputes occupent chacune le milieu d’une colonne ; l’une oppose un bâtisseur et un clerc hurlant autour d’un plan gravé sur une tablette ; l’autre un pèlerin de Saint-Jacques à un seigneur. Une thématique de la colère ?