Ces grottes, un cabinet de réflexion ? Oui mais sans le côté intime, invitant à se recueillir en soi (voir les portraits de "vanité" : à la lueur pâle d’une bougie, le personnage tient un crâne dans les mains comme sur le beau portrait de Latour, et on trouve un peu l’équivalent en FM...). Ici, c’est le Rien, le grand vide. C’est Rien et c’est Grand. La coupole hémisphérique doit encore accentuer ce vide sidéral ! C’est le niveau au dessus je trouve : A l’Intérieur, l’Univers. Le deuil, la mort la réflexion intime sont déjà traversés. On est dans un Ailleurs ou le moi n’existe plus.