En réponse à :
10 avril 2010, par Raymond Bernard
"Il est bon que l’homme réagisse par des "pourquoi ?" devant certains phénomènes ou devant des événements qui ne s’intègrent pas dans le cadre que sa compréhension a édifié pour lui-même.
Un pourquoi judicieusement posé peut lui ouvrir la voie vers la connaissance transcendante - celle qui est au-delà des limitations de son intellect et qui siège au niveau de la permanence du réel.
Mais un tel pourquoi, même exprimé à autrui, est d’abord posé à soi-même et la réponse d’un autre n’est (...)