En réponse à :
10 juin 2010, par Raymond Bernard
"Il est émouvant pour nous de relever l’extraordinaire ingéniosité dont l’homme fait preuve pour retrouver son état d’origine. Tout fut, est et demeure éternellement en Dieu.
Éternellement, l’homme est en Son sein. Il le fut, ignorant de lui-même, sans conscience d’être, inerte pour ainsi dire, et le "Fiat" correspond à sa première "séparation", c’est-à-dire à une prise de conscience et d’individualité bien précaire que le Verbe élargit en une séparation de plus en plus grande jusqu’à une (...)