L’humanité dans son ensemble n’échappe pas à cette règle. De ce fait, en ce début de XXIème siècle, la prise de conscience des valeurs économiques doit se faire de gré ou de force, permettant ainsi à l’homme de comprendre que le bonheur passe également et surtout par l’échange et le partage, autrement dit par la fraternité dans ce monde manifesté.
L’homme pour son élévation et son évolution doit avoir le choix et il doit pouvoir s’appuyer sur des bases solides et matérielles sur lesquelles il peut prendre son essor dans la dignité et la confiance.
L’économie en ce sens et les supports d’échanges devant la servir sont l’énergie vitale et nécessaire permettant à l’humanité de trouver l’équilibre indispensable et le bien-être sur la plate-forme terrestre. Ainsi notre mère la Terre peut devenir un tremplin vers des aspirations s’élevant toujours plus haut, vers les régions supérieures de l’Etre.
Est-ce la réalité en cette fin de XXème siècle ? La réponse est non ! Pourquoi ?
Tout simplement parce que certains détenant de soi-disant pouvoirs et une puissance mise au service du profit, s’ingénient à ce que cette "énergie vitale" qu’est l’économie soit dirigée, continuellement, vers les mêmes organes et parties du "corps terrestre", provoquant de ce fait la maladie en ce monde et l’inharmonisation planétaire.
Or, aucun organisme ou corps vivant ne peut survivre au manquement permanent des énergies vitales. Il est temps, et en cela je reviens au début du discours, qu’une prise de conscience essentielle soit établie d’une part, par des effets en matière de formation et d’information auprès de et pour l’humanité en général, mais surtout auprès des jeunes et très jeunes qui seront le monde de demain.
En effet, ces mises en place de sensibilisations, de formations et d’informations sont primordiales et sont une clé de l’évolution permettant de véhiculer de nouveaux concepts économiques faisant appel à l’idée d’énergie vitale de la planète. Cette image du corps planétaire malade, d’une circulation incorrecte de "l’économie vitale" doit être induite et faire partie des réflexions nouvelles de chacun et des sphères d’influences auxquelles il est confronté.
Cette idée doit devenir une "force" et une prise de conscience dans ce millénaire qui commence d’une manière violente, et par une remise en question.
En conclusion nous pouvons dire que les notions simples et humaines doivent reprendre place au "fronton de l’économie planétaire". Que cela est possible, et que certains, en groupe ou individuellement, ont pour mission, par le privilège qu’ils ont eu d’avoir accès à des réflexions et conceptions plus approfondies, de montrer du doigt des valeurs qui ne sont pas forcément nouvelles, mais tout simplement oubliées et demandant de nouveau à servir l’Homme.