« Socrate :
Nous voulons très exactement que les cieux innombrables, et que la terre et que la mer et que les cités, et que les hommes aussi et les femmes particulièrement, et que les animaux comme les plantes… et même…les Dieux ne soient tous ensemble et chacun selon sa beauté qui s’adapte à notre désir…ne soient donc que les aliments, les ornements, les condiments, les appuis, les ressources, de notre seul individu !
Comme si notre seule flamme, et cette durée si brève qui est la sienne valussent de consommer tout ce qui fut, ce qui est et ce qui sera ! Nous croyons que toutes (...)