"Le "pauvre", le "frigorifié", c’est ce "moi intérieur" qui est bien là dans toutes les scènes de notre vie.
Celui que nous n’avons "pas le temps" de regarder, de prendre en considération. Celui-là même que nous oublions si souvent. L’ignoré...
Nous trouvons que la "vraie vie" avec ses "vrais" problèmes est tellement plus importante !" Je vais demander à notre petite étudiante en philosophie à Tours que nous désignons sous le nom d’Hanouille la fripouille, d’aller se recueillir devant ce tableau de la cathédrale. Souvent elle m’a entendu mettre en pièce le mot frigorifié en le (...)