En réponse à :
1er avril 2005 13:39, par Gandiva
Cette étude donne le vertige.Celui des abîmes spirituels.Une grande aspiration à la sainteté seule a pu l’inspirer. La sainteté déborde, elle perce, elle fait presque mal.Il manque le dernier visage qui complète le tableau.Celui d’Yvonne Aimée de Malestroit. Comprendre Mal est roi. C’est le roi pêcheur. J’ai été surpris par cet "arrêt sur image" de l’anée 1888. Il y a une raison ?