Je n’ai quant à moi jamais parcouru ce Chemin, je m’exprime donc sans la connaissance qu’apporte le vécu...
Je me permets pourtant - avec respect - de poursuivre mes questions...
Ne pensez-vous pas que cela pourrait être un certain goût d’inachevé qui vous fasse à nouveau reprendre cette même direction encore et encore ?
N’est-ce pas l’absence du "retour" qui fait que l’on reste toujours un peu "là-bas" et que l’on y est attiré ensuite comme par un aimant pour retrouver des sensations, des émotions qui attendent peut-être d’être "digérées", lentement "assimilées", tout au long des (…)