En août-septembre 1989, à Caen, à l’École Normale, avait lieu un colloque du Centre de recherches sur le Merveilleux (CERMEIL) sur Le Merveilleux et la magie dans la littérature (7), Michel Vital Le Bossé dans sa conférence « Balzac ou le désir d’immortalité magique » écrit :
« Balzac utilise également la symbolique des nombres. Tout lecteur, initié au sens propre, ayant lu Séraphîta, comprendra facilement la trentaine de pages retranscrivant pratiquement stricto sensu le rituel d’une tenue martiniste. Balzac fréquente le cercle philosophique martiniste. Certaines gravures représentent (…)