Marche lourde du passé,
Présent dur à supporter
Crispation....Prison.
Ecoutez bonnes gens la complainte des enfants.
Ces enfants qui n’parlent plus et leurs yeux qui nous tuent,
Douleurs muettes du regard et des cris hors du temps
Victimes des abus, enfermés dans la rue.
Obscurité.....sangs figés.
Comm’ un bateau qui ne part plus,
Comm’ un cristal qu’on ne voit plus,
C’est le désert dans tous les cœurs,
Comm’ un jardin sans fleurs,
Comm’ un reflet d’espoir perdu
Comm’ une lumière qu’on ne voit plus,
C’est le désert dans tous les cœurs
Comm’ un jardin sans fleurs.
Un homme se souvient de son enfance perdue
Il pleure sur sa vie et se dit : jamais plus !
Jamais plus de pulsions de chaos de frictions.
Un homme se souvient du chemin parcouru
Il saura dir’ à ceux qui meurent de déraison,
Que leur cœur sonne creux,
Que tout n’est pas violences ou répression !
Absolution.......nouvel horizon !
Alors ils seront libr’ comm’ un bateau qui va partir
Comm’ une lumière en plein jour
Comm’ un jardin d’amour.
Dans le triomphe de leur cœur
Dans leur jardin tout en fleurs,
Ils seront libr’ enfin d’aimer et d’êtr’aimé.
Ils seront libr’ enfin d’aimer et d’êtr’aimé.