En intitulant ainsi le sujet de ton mail, tu me coupes l’herbe sous le pied pour te charrier. Mais il m’en reste encore un brin :
Du temps où j’étais élève du lycée Charlemagne, Paris 75004, je faisais potachement parti du Comité du Transfert, qui avait pour ambition cocasse d’amener les autorités municipales à transférer l’énorme et hideuse statue de Charlemagne et ses Eudes, du parvis de Notre-Dame (où elle est quasiment invisible car enfouie dans un bouquet d’arbres sur le côté droit du dit parvis) à la cour du lycée où tout un chacun aurait été alors en mesure d’en apprécier le pompiérisme pompeux. Et je garde de ce lycée le souvenir d’un prof de français qui nous donna ce conseil pour rédiger une bonne disserte : Évitez surtout que votre texte ressemble à l’épée de Charlemagne !
– Pourquoi, Grand Dieu ?
– Parce qu’elle était connue pour être longue, lourde... et mortelle.

Cela dit en matière d’intro plaisante, j’apprécie le prolongement platonicien que tu donnes à la citation de Gosh et je retiens le coté "plastique" de l’acte.