Mahatma Gandhi
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5 septembre 2013, par Beatrice
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Ce texte me rappelle un stage au cours duquel il était demandé de répondre à la question : "si vous étiez une île... ?"
Chacun avait décrit son île.
Seule une personne avait répondu : "je serais une presqu’île, pour garder le contact avec les autres."
Sommes-nous des îles ou des "presque" îles ?...
Beatrice.
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Mahatma Gandhi
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10 septembre 2013,
par G.rare |
Je trouve cette réponse très jolie !
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Mahatma Gandhi
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10 septembre 2013 |
Très joli....
L’ouverture aux autres est proportionnelle à l’ouverture de notre cœur.
Alors, j’adhère totalement (et en plus j’adore Quiberon...)
Jean-Pierre
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Mahatma Gandhi
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10 septembre 2013,
par Beatrice |
L’ouverture du cœur, oui...
tout d’un coup, cela me ramène à Maître Philippe de Lyon, qui avait dit :
"vous ne sortirez pas de ce cercle de fer : aime ton prochain comme toi-même".
on en revient toujours là, non ?
Beatrice.
P.S. Pour ma part, je n’y suis pas encore parvenue, mais, bon, un jour, peut-être ...!
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Mahatma Gandhi
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12 septembre 2013,
par Jean-Pierre |
Aimer son prochain comme soi-même, en tant que commandement, je ne sais pas ce que cela veut dire.
Mais, c’est certainement l’envie de lui faire ce que j’aime ressentir des autres pour moi.
Aimer son prochain comme soi-même, montre à l’évidence qu’il faut s’aimer soi-même.
Pour certaines personnes, c’est difficile car elles ne savent pas trop à quoi cela ressemble, vu qu’elles n’ont pas reçu d’amour ou si peu. Alors, elles aimeront à leur manière, du mieux qu’elles le peuvent.
On ne peut donner que ce qu’on a. Si l’on a beaucoup, c’est très bien. Si l’on a peu, c’est très bien aussi.
Alors, sans chercher à savoir si vous pouvez plus, peu importe, donnez ce que vous avez et c’est parfait.
Jean-Pierre
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Mahatma Gandhi
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15 septembre 2013,
par Beatrice |
Oui, sans doute, il faut bien commencer quelque part, avec ce que l’on a reçu.
Au fond, ça n’est peut-être pas si difficile, si on peut le résumer tout simplement à "aimez comme vous le pouvez"...
"même trop, même mal", chantait Brel,
mais AIMEZ.
merci à vous, Jean-Pierre, vous m’avez permis de comprendre quelque chose d’important.
bien fraternellement.
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